S'amuse tranquillement

[Co-Admin] Fille-Fleur Messages : 52 Date d'inscription : 29/03/2011 Age : 33

La salle de spectacle était vide. Les représentations allaient commencer seulement dans plusieurs heures. Au beau milieu de la scène, il y avait une petite fille. Elle n'était pas comme les autres. À première apparence oui. L'élément qui la distinguait des autres étaient les pétales de fleurs qui parsemaient le dessus de sa tête. En tout, il y en avait cinq. Elles étaient tous d'un magnifique rose et il y avait de petits bulbes bourgognes à la base de trois pétales. Cela la rendait tellement mignon. Surtout lorsqu'elle portait une petite robe rose ou blanche. À ses mains, il y avait des petits gants rose très pâles. Elle n'aime pas se salir les mains et c'était le seul moyen qu'elle avait trouvé de se sentir mieux.

Alors, cette petite fille était assit au milieu de la scène et elle tenait à ses mains une marionnette. La marionnette était grande, presque aussi grande qu'elle et elle la faisait bouger à l'aide de bâton. Son père, Alister, dit le Puppet-man, lui avait offert ses premières marionnettes il y a quelques années. C'était un art que la petite comprenait et commençait à bien maîtriser. En fait, ce qui passionnait la petite fille était les acrobaties. Elle voulait être capable de faire des spectacles dans les airs à l'aide de trapèze ou tout autre matériel d'acrobate. Elle s'imaginait marcher sur un ballon sans tomber, mais à cause de ses pétales, elle ne pouvait pas faire grand chose... Car lorsque quelque chose lui accroche trop violemment les pétales, la jeune fille ressent une douleur insupportable. Malgré tout, elle adorait les marionnette et peut-être que plus tard, elle pourrait faire des numéros avec son Papa.

En faite, Alister ignorait que sa fille était venu jouer sur la scène. elle jouait souvent à cet endroit, car elle s'imaginait faire des spectacles pour une foule d'enfant comme elle. Arisha s'était levé tôt. La petit-fleur se levait souvent en même temps que le soleil. Elle aimait bien regarder le soleil se lever. Donc, elle était sortie de sa chambre silencieusement, après s'être habillé, et était descendu prendre son petit déjeuner avec les employés du matin. La petit Carthew était connu de tout le monde. Elle était gentille avec tout le monde. Elle parlait avec eux. De cette façon, elle connaissait souvent les horaires de la journée des différents spectacles. Elle était très heureuse de savoir quand son père allait faire une prestation. Comme ça, elle était toujours prête à aller voir les spectacles de son cher père, même si elle avait le droit à un spectacle sur demande.

Pendant qu'elle s'amusait, la petite fille entendit un bruit qui lui était plus que familier. Elle arrêta son jeu et offrit un magnifique sourire à la personne qui s'approchait d'elle.

Exorciste Messages : 13 Date d'inscription : 05/04/2011

Arisha ne vit rien en se retournant. Elle souriait à un coins obscur et vide de la pièce. Le bruit qu'elle avait peut-être imaginé laissait maintenant place au silence si complet à présent qu'il agissait presque comme une présence, l'entourant de sa profondeur. Beaucoup de mot pour décrire une simple absence de bruit ? Non car il laissait vraiment cette impression différente d'auparavant. L'obcurité dans le fond de la salle, là où la lumière avait peine à chasser l'ombre, semblait gagner du terrain vers la scène, comme si elle mangeait la clarté sur son passage pour progresser insidieusement vers Arisha. La luminosité avait baissée d'un cran. Il faisait un peu plus froid à présent. Pas une sorte de froid que l'on eut pu chasser en tentant de s'en protéger, car il pénétrait à l'intérieur sans que rien ne puisse y faire. Une légère brume pénétra dans la salle par la porte principale et il fit légèrement plus noir encore, puis une femme entra à son tour. habillée avec de vieux habits de chirurgiennes, elle s'avancait tranquillement vers la scène, en même temps que l'ombre, le regard perdu, comme dans un rêve. Elle gardait les mains dans ses poches. Elle s'arrêta devant les quelques marches qui menaient à Arisha. Elle la regarda et lui fit un sourire confus avant de lui demander avec une voix incertaine :

« Excusez-moi petite mademoiselle, mais pourriez-vous m'indiquer la direction de Whitechapel ? Je suis très peu accoutumée aux quartiers de Londres et j'ai rendez-vous là-bas... »

Cette femme laissait une drôle de sensation. Elle semblait torturée. Cela ne se voyait pas en apparence pourtant. On le savait en la voyant, tout simplement, comme si c'était l'évidence même sans qu'on puisse comprendre pourquoi. La jeune fille, avant de répondre, pu remarquer une nouvelle présence dans la pièce. Un jeune homme habillé d'un manteau. Cheveux noirs, petite taille, c'était cependant son oeil bleu sans pupille, luisant dans la pénombre qui attirait le plus l'attention. Il regarda la petite avec un air désolé et lui dit d'une voix douce :

« Ne t'inquiète pas, le jack va bientôt partir... Il doit être libéré, ainsi que les pauvres âmes enchaînées à sa cheville. »

Il s'adressa à la femme sur un ton sévère :

« Ne les vois-tu pas qui t'implore ? Cesse de supporter leur poid et suis moi. »

Le doux visage de la femme se déforma et la folie à l'état pure s'y afficha. Son sourire était le pire qu'on puisse imaginer. Elle sortie une lettre rattachée à un rein humain de sa poche et dit :

« Non je dois d'abord faire livrer cette lettre à George Lusk... »

L'oeil du jeune homme se mis à briller de plus bel :

« George Lusk est mort. »

[Co-Admin] Fille-Fleur Messages : 52 Date d'inscription : 29/03/2011 Age : 33

Arisha regardait autour d'elle. Elle se demandait qui allait bien pouvoir s'approcher d'elle. En fait, la petite s'attendait à voir son père ou Ferrar, car elle avait reconnu un bruit familier, mais cela ne fut pas le cas. Étrangement, il se produit quelque chose d'étrange dans la pièce. Il commençais à faire de plus en plus noir, mais pourtant, il y avait de la lumière partout il y avait de cela quelques secondes. La petite rapprocha sa marionnette contre elle. La fille-fleur commençait à se sentir étrange. Elle avait froid, mais elle se sentait incapable de se réchauffer. Même ses pétales commençaient à se refermer sur sa terre. Pourtant, ils étaient en plein été!! Il n'y avait pas de raison que cela se produise. Elle tourna sur elle même durant deux ou trois tours. Elle se sentait plus que seule. L'adolescente recula de quelque pas, mais elle arrêta brusquement. Non loin d'elle, il apparut une femme. Elle était habillée étrangement. Ari trouvait qu,el ressemblait aux médecins qu'elle avait vu quand elle était dans l'hôpital avec son papa. La petite ne voulu même pas approcher de cette femme étrange. Habituellement, la jeune Carthew approchait les nouvelles personnes qu'elle rencontrait sans gêne, mais cette femme avait quelque chose qui tracassait la jeune fille. Plus la femme avançait, plus il faisait noir et plus Arisha avait froid. Elle ne pouvait rien faire, elle ne pouvait pas s'échapper. En fait, elle était paralysée sur place. Même la marionnette semblait vouloir fusionner avec elle.

La dame lui parla. Whitechapel... La petite fleur avait jamais entendu ce nom... elle ne savait même pas ce qui avait au bout de la ruelle! Jamais elle était sortie de l'établissement. alors, elle ne pouvait pas répondre à la dame, en fait, elle nu même pas besoin, qu'un homme aussi étrange que la femme entra dans la pièce. Ari se sentait prise entre eux deux. elle ne savait pas quoi faire. elle avait commencé à frissonner, autant de froid que de peur, car oui, la petite Arisha avait maintenant peur. Elle comprenait absolument rien de ce qui passait. L'homme avec un seul oeil bleu parlait d'un Jack et de personnes enchainées. qu'est-ce que cela voulait bien dire.

Une nouvelle fois, elle essaya de bouger, mais il y avait rien à faire. Le froid et la peur était à son comble, tellement qu'elle avait de la difficulté à respirer. C'était vraiment un évènement trop intense pour elle. La petite fille n'avait jamais vécu un expérience aussi terrifiante. Certes, elle a eu peur lorsque son père tomba malade, mais là, C,était totalement autre chose! Lorsque la femme se déforma, Ari se mit à crier. elle cria tellement fort que tout le monde dans le bâtiment pouvait l'entendre. Elle voulait que tout s'arrête. Elle n'en pouvait plus être témoin d'un telle scène.

~ PAPA!!!

Se fut le seul réflexe qu'elle eut : appeler son père. Elle se laissa tomber à genoux, elle tenait toujours sa marionnette géante contre elle et se mit à pleurer. Arisha avait vraiment peur. Elle pleurait à chaudes larmes. C'était traumatisant pour elle te voir tout cela. Une femme se déformer, un rein humain auquel était attaché une lettre tâchée par le sang et un homme avec un seul oeil bleu qui brillait de plus en plus fort. Elle désirait plus que tout que cela se termine. C'était plus qu,un cauchemar pour elle. La fleur voulait tellement que quelqu'un vienne arrêter cette scène. Elle en pouvait plus... Elle serra sa marionnette tellement fort que cela commençait à lui faire mal, mais elle croyait que si elle lâchait son "bouclier" qu'elle allait se faire dévorer par la dame et mourir par la suite.

Suite à tout cela, la jeune fille se sentit prendre par derrière. Elle eut tellement peur qu'elle se mit à hurler de toute ses forces et à se débattre. elle ne savait plus qui était en train de la prendre. Le patin tomba mollement sur le sol en faisant un gros bruit. C'était vraiment le moment le plus épeurant que la jeune fille avait vécu de sa vie. Elle voulait simplement être dans les bras de son père et que ce dernier réconforte avec une chanson, des câlins et de douces paroles. C'était trop pour elle...

Jamais la petite avait eut des frayeurs dans sa vie. Comme dit plus haut, l,accident de son père lui avait fait peu, mais ce n'était rien comparé à la scène qu'elle avait été spectatrice. Elle voyait toujours les plus beaux côtés de la vie. Elle était toujours joyeuse et souriante. Elle mordait dans la vie à pleine dent. Comme lorsque l'on mord dans une tranche de melon d'eau ou dans une pomme. Elle s'amusait avec un rien et aimait les contacts humains, mais pour l'instant, elle ne s'amusait plus. Elle avait vraiment peur.

Ce ne fut que lorsque la personne qui avait prit Arisha parla que la petite fut capable de se calmer.

[Co-fondateur] Homme-Araignée Messages : 44 Date d'inscription : 11/03/2011

Ferrar était plus loin sur le plafond de la salle de spectacle, il préparait la scène pour son prochain spectacle et en profitait également pour surveiller la petite fleur. La grosse bête de 2m30 de haut semblait si légère sur ses toiles, Au bout de plusieurs minutes, n'ayant sentit aucun danger, le drider se tissa un cocon pour faire un petite sieste. Un peu plus tard, la pièce devin de plus en plus froide, Ferrar commençait à s'engourdir, car le froid affectait son anatomie, comme il le fait sur les araignées. Ce n'était pas normal, Ferrar releva la tête et commença lentement à s'extirper de son cocon, au plafond, juste en haut de la petit fleur.

''AAAaaarrrrrrrrhhhhhhh''

Lança la bête sous son éveil, il s'extirpa lentement quand il entendit des paroles.... Whitechapel?... Étrange... Ferrar ne connaissait pas cet endroit, puis il entendit un homme s'interposer entre la femme et la fleur. Ferrar se dépêcha a s'extirper de son cocon, malgré le froid qui le ralentissait. quand soudainement il entendit sa petite fleur crier et appeler son père...Le colère monta en la bête et un énorme crissement se fit entendre, comme si on venait de provoquer une araignée géante.

''IIIIIIIAAAAAAAAARRRRRRHHHHHHHHHH''

Le cri raisonna partout...Il déchira entièrement son cocon. À ce moment la femme fantôme et l'étrange homme purent voir un énorme masses tomber sur la petite fille fleur. En fait Ferrar avait juste atérrit au dessus d'elle, sans la blesser, se deux pattes du milieu l'enlacèrent doucement, la masse se releva pour laisser l'apparence complète de Ferrar à la vue....Ferrar regarda la femme, aussi déboussolée que l'autre homme derrière elle... Tout en gardant la petite fleur protégée dernière lui, le drider se hissa sur ses quatres pattes de derrière, ce qui lui donnait maintenant un bon 4m20 de haut!....Il regarda férocement la dame sans même se préoccuper don son allure déformée...

''AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAARRRRRHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH''

La créature semblait terriblement agressive et mécontente, Ferrar tenait à protéger sa petite fleur à tout prix...Même la femme en recula. Ferrar se remit sur ses huit pattes et fonça vers la femme de manière agressive, il tenta de la mordre, Ses dent sentir un tissu froid, horriblement froid, il injecta la dose la plus mortelle de venin qu'il savait faire,, le venin fut éjecté , mais il passa au travers de la dame et le venin commença a brûler un peu le tapis...La dame attaqua le drider avec son scalpel qui le coupa a diverses endroits...elle le poignarda a deux trois reprises. Le dirder recula et son sang noir commençait à couler. Il retourna en reculant vers la scène, près de la fleur. Il agrippa la fleur et l’entraîna dans un coin...Ferrar se mit a la recouvrir de tout son corps comme d'un bouclier. Il attentdit quelques minutes, tout se fut dans un gros raffut. Puis des pas se dirigèrent vers Ferrar en silence, l'homme a l'oeil bleu se présenta, la femme, la noirceur et le froid étaient partit. Ferrar se mit a gronder violemment vers Owen, voulait l'effrayer et le faire partir, il était près a l'attaquer s'il s'approchait trop de lui et de la petite fleur qu'il protégeait désespérément.

''CCCCCCRRRRRRRRRRROOOOOOOORRRRRRRRRRRRRRR!!!!!!!!!!!!!!!!!!!''

Hurla-t-il a l'homme pour le faire reculer, la petite fille pleurait sous lui....Voyant que l'homme avait accepté de garder ses distances face a eux, l'araignée géante se décrispa et laissa la jeune fille sortir, il la prit dans ses mains humaine et la regarda soigneusement partout....Il avait l'air inquiet.

''Shhhhhhhiiiiihhhhhh....''

Traduction pour Arisha:'' Ma petite-Fleur! Tu n'as rien!?''

''Iihhhhhhhh''

Traduction:'' Tout vas bien je suis là....''

L'homme araignée prit la fille fleur dans ses bras et pris bien le temps de la consoler et de la calmer....Mais a chaque fois que l'homme faisant un pas vers eux, il se retournait violemment et hissait de colère jusqu’à ce qu'il recule a nouveau. L'homme araignée semblait bien se balancer de ses blessure, dont une était plus saignante que les autre, un cou directe dans l'estomac...Ferrar souffrait mais il ne voulait pas inquiéter la petite fleur d'avantage. Malgré tout il continuait de cajoler et de réconforter la petite fille avec de doux petits couinements que seule la petite fleur et son père ne pouvait comprendre.

Exorciste Messages : 13 Date d'inscription : 05/04/2011

Owen semblait calme lors de sa discussion avec la femme, mais il en était tout autrement. Il n'était pas sans coeur et si en surface les pleurs de la fleur ne semblait pas l'affecter, à l'intérieur il était peiné de voir l'enfant effrayée. Il devait se débarrasser du Jack, qui la terrifiait. L'exorciste était au moins rassuré sur un point, ce spectre n'était en rien une menace pour Arisha, puisqu'il visait une clientèle de victimes particulières. Il devait quand même se dépêcher cependant, car sa cible risquait de lui échapper et il mettrait encore deux jours à la retrouver au moins. Lorsque l'horrible femme sortie la lettre et l'organe de sa poche, le coeur de Owen fit un tour dans sa poitrine. Qu'est ce que c'était que cette cochonnerie !? Une sinistre relique du passé ? Un souvenir ? Et qui était ce George Lusk ? Le Jack avait commit ses crime en 1888 sur la rue Whitechapel et ses environs, alors peut-être cet homme était-il toujours en vie... Il tenta un bluff pour voir sa réaction et lui dit :

« George Lusk est mort »

À ce moment une énorme masse noire tomba sur la scène pour s'interposer entre la prédatrice et l'enfant. Owen eut un mouvement de recule en même temps que le fantôme. Il fixait le monstre, l'air abasourdi. Non ! Il devait se reprendre ! Toujours garder son sang froid en présence de l'obscur était une règle avec laquelle on ne dérogeait pas. Owen pris une grande respiration et analysa la scène qui se déroulait devant lui. Son oeil scruta tout. Il vit le combat et bien plus : Il lu en l'homme araignée et su qui il était réellement. Il avait toujours vécu au cirque, abandonné à la naissance, était quelqu'un de renfermé et agressif, mais bon est attentionné, quelqu'un qui souffrait de sa condition et qui ne voulait dans l’immédiat que protégé la petite fleure qu'il aimait plus que tout. Owen le trouva beau en son âme. Puis, lorsqu'il revit le monde avec les yeux du commun des mortels, il se rendit compte que le monstre allait perdre contre l'entité et son scalpel, ce scalpel qui avait répendu les tripes de 5 prostituées.

« Non ! » :

Cria-t-il tandis que l'homme araignée se repliait sur lui, blessé, faisant un rempart de son corps pour Arisha. Le Jack se retourna vers lui et lui hurla que son heure était venu. La langue sortie comme un animal aliéné, les yeux à moitié exorbités et ses scalpels couverts de sang noir, elle se précipita vers Owen à toute allure, moitié courant, moitié lévitant. L'oeil de l’exorciste devint blanc comme le titane, son regard devint apathique, comme s'il était en transe il dit d'une voix blanche :

« Walter, mon amour, donne moi la force... »

Trois secondes passèrent durant lesquel le Jack en furie se raprocha dangereusement, gloussant malsainement toute la folie qui le possédait. Puis une voix grave et empreinte de force résonna dans la grande pièce, semblant lui donner vit :

« Tout pour toi mon chéri »

Et au moment ou le spectre se jeta sur lui pour le disséquer, Owen ouvrit grand les yeux, tandit la paume de sa mains, maintenant devenu translucide comme son adversaire, vers l'avant et le geste meutrier s’interrompit aussitôt. Il regarda Jack L'éventreur, plus grande meurtrière de Londres dans les yeux et lui dit avec une voix superposée à celle qui avait résonné plus tôt :

« On t'a pris ton enfant le Jack, mais rien n'est pour autant justifié. Laisse moi te guérir de ta légendaire folie. »

Le spectre allait s'égosiller, mais avant qu'il n'est pu, le jeune homme écrasa son point éthéré sur sa tempe si fort que sa tête fut expulsée vers le sol à une vitesse terrifiante, avant de s'y écraser avec un craquement abominable. Owen regarda le corps inerte quelques seconde sans rien dire, puis les deux voix qui sortir de sa bouche dirent en coeur :

« Là où tu va, la maladie qui rongeait ton âme ne te suivra pas. Soit en paix. »

Le cadavre s'évapora. Il tenta ensuite d'approcher les deux personne sur la scène ; la fille et l'homme araignée, mais il ne pouvait approcher sans se faire menacer. Alors il dit au monstre avec un air désolé et triste :

« S'il te plaît Ferrar, je voudrais faire quelque chose pour elle... »

Owen fit imaginer à Ferrar et Arisha, par une de ses illusions, que des ailes angéliques avaient poussées dans son dos et qu'une aura de lumière l'entourait. Bon d'accord il y allait fort, mais il voulait vraiment à tout prix lui inspirer confiance pour aider la petite... et lui par la même occasion. Il avait l'air salement blessé...

[Co-Admin] Fille-Fleur Messages : 52 Date d'inscription : 29/03/2011 Age : 33

La jeune fille se calma d'un cran quand elle reconnu l'étreinte de son meilleur ami. Ferrar était venu à son secours. En fait, elle avait aussi souhaité que se soit son ami qu'il vienne la protéger. Certes, la présence d'un père en ce moment aurait été bien plus rassurante, car Alister connaissait très bien sa fille et aurait arrivé à la calmer en un rien de temps. Par contre, Ferrar était aussi un de ses grands protecteurs. En fait, Ferrar avait cette prestance que son père n'avait pas : il faisait près de trois mètres de haut, il avait huit pattes et il pouvait faire un toile dans n'importe quel cas pour la protéger. Elle était heureuse de se savoir enfin à l'abri dans les bras de son confident. Ferrar était tout pour elle. Étrangement, l'homme-araignée détestait les nouveaux, mais ce fut avec lui qu'elle s'était liée d'amitié. C'était comme s'ils étaient tombés tout de suite amoureux un de l'autre, mais avec une amitié inconditionnelle.

D'un yeux distant, c'était assez drôle de voir une petite fille-fleur, d'à peine un mètre trente câliner une patte géante de l'homme araignée avant d'aller au lit. C'était drôle, mais tellement mignon à voir! Elle aimait passer du temps avec lui. Elle s'amusait énormément, surtout lorsqu'il la mettait sur son dos pour faire une promenade dans le bâtiment, dans des endroits où la petite n'irait pas normalement. Une fois, elle avait été dormir dans la chambre de Ferrar. Cela avait pris tout le courage du père pour la laisser faire, mais elle avait adoré son expérience, malgré le manque de lumière naturelle au soleil. Ce matin là, la petite avec l'air plus fatiguée que la veille et semblait malade. Depuis ce temps, elle n'avait pas renouveler l'expérience, mais elle mourrait aussi d'envie de refaire cela. Elle trouvait cela étrange de dormir loin de son paternel et de la lumière du matin. Bref, retournons à l'étrange scène dans la salle de spectacle...

La petite était toujours dans les bras de son ami gréant, en sécurité. Comme cela, elle ne pouvait pas se faire attaquer. Elle avait aussi réussit à se calmer. De cette façon, elle avait cessée de donner des coups à la pauvre bête qui ne faisait que la protéger. Soudain, la jeune fille n'attendait plus rien, alors elle regarda sous elle, car elle était maintenant dans les airs, mais elle n'aurait pas dû. La scène était encore plus troublante et par-dessus tout, Ferrar se faisait donner des coups d'un truc brillant et coupant. Avec tout ce qui se passait, la petite se remit à crier et à pleurer. Elle aurait voulu crier à la menace d'arrêter et qu'elle faisait mal à son meilleur ami, mais il n'y avait que des pleurs qui sortaient de sa bouche. Elle désirait vraiment que tout se termine, mais cela ne faisait que durer. Elle aurait voulu se blottir dans les bras de son père ou dans un énorme champs de fleurs, là où il n'y avait pas de sang et de monstres. La fleur ne comprenait pas que ce n'était que des fantômes et que l'homme au drôle d'oeil était là pour les protéger.

Finalement, le silence revint... La seule chose qui était audible, était les sanglots de la petite. C'était bien trop pour elle. Arisha avait aussi commencé à demander son père. Elle voulait voir le marionnettiste. Elle voulait se sentir protéger et se sentir à l'aise. Ses images l'avaient réellement perturbé... Elles avaient tous marqué son esprit au fer blanc. Jamais elle ne pourrait se défaire de toute la peur qu'elle venait de vivre. Dans son esprit, elle fit l'homme avoir des ailes d'oiseaux dans son dos, mais comment avait-il fait cela? Mais aussi rapidement que l'image d'Owen, les images de sang et de tripes revinrent dans l'esprit de la jeune Carthew. Il n'y avait pas grand chose à faire, le mal était fait et la petite était traumatisée. Elle sanglotait toujours et se serrait encore plus contre son ami à moitié arachnoïde. Par bride, elle appelait toujours son père.

[Co-fondateur] Homme-Araignée Messages : 44 Date d'inscription : 11/03/2011

Ferrar faisait de son mieux pour calmer sa petite fleur, il l'aimait tellement, il aurait aimé faire venir le père de la jeune fille, qui était malheureusement partit avec son père adoptif Frédérick pour des raison que Frédérick avaient cru bon de laisser inconnu aux yeux des autres. Ferrar s'attristait vraiment de voir sa petite fleur marquée a vie, il la serra doucement dans ses bras en crissant une berceuse, celle qu' Alister chantait à la petite fleur. Ferrar avait affreusement mal, ses blessures était profondes et le sang noir avait déjà imprégné le parquet qui se trouvait sous ses pattes...Il leva la tête vers Owen qui l'interpella...

« S'il te plaît Ferrar, je voudrais faire quelque chose pour elle... »

Comment ce taré pouvait-il connaitre son nom, exprimer une si grande familiarité vers lui. Déjà qu'il détestait les étrangers mais là. Ferrar grogna fortement et sa tristesse se transforma en colère et il en voulait énormément au médium. Il avait vraiment l'air agressif, il s'avança vers le médium en grognant, il se dressa de toute sa grandeur malgré ses blessures qui saignai d'un sang très noir. Il leva une patte et le poussa violemment au sol sans faire plus.

''Toi l'étranger tu dépasses les bornes!, regardes ce que tu as fait a la petite fleur du crique! La petite est a la fleur de sa pré-adolescence! Tu viens de la marquer a jamais toi et tes satané mauvais esprits!...Les charlatants de ton genre sont dangereux! Fou le camps et apporte tes problèmes avec toi étranger! Tu aimes te faire remarquer au prix des autres! alors laisse moi te foutre deux trois entailles en pleine figure et les chirurgiens qui vont s'occuper de ton cas vont tous te regarder comme tu le souhaites tant! !''

Dans le cas de Ferrar, les deux seuls moment ou il parlait le langage humain devant quelqu'un c'était soit qu'il lui faisait confiance...soit qu'il était très en colère, vous deveniez quelle raison est appliquée si dessus. Ferrar parlait un peu au travers de son chapeau mais il s'en faisait énormément pour la petit fleur et son caractère était instable, bien qu'il n'aimait pas être si agressif devant sa petite fleur, son corps agissait de lui-même, autant que la parole.

''Je ne veut plus te voir l'approcher! ''

Ferrar détourna subitement la tête et se mit a cracher du sang par la bouche dans un crissement de douleur. Il perdit patte et trébucha, il du même s'accoter contre le mur... Il se regarda, il n'allait pas durer bien longtemps...Il sortit un long fil de son abdomen et prit une épine de l'une de ses pattes.

''Arisha...*kof kof* Ma petite fleur...ferme les yeux...ne regardes pas ma chérie...''

Il lia le tout et prit une grande respiration avant des se mettre a crisser de douleur, il commençait a se recoudre lui même...Une fous le tout terminé, il se concentra et régurgita une toile dans un bruit dégoûtant. Il se pensa lui-même avec sa toile, le bon côté d'être une araignée. Ferrar se retourna vers sa petite fleur et alla se coucher près d'elle , trop faible a cause de la perte de sang , il la garda contre lui.

''Je vais mieux petite fleur....''

Il tentait de garder la petite loin d'Owen mais il finit par entrer en dormance, son corps avait trop de besoin de re-créer du nouveau sang...

Exorciste Messages : 13 Date d'inscription : 05/04/2011

L'homme araignée ne l'aimait décidément pas du tout. En fait sa réaction fut pire que ce à quoi Owen s’attendait. Il se fit plaquer au sol par l'une de ses pattes. Il se laissa faire, étendu sur le sol. Au début, quand il avait percuté le plancher, son visage avait changé exprimant la surprise et la douleur du choc, puis tranquillement ses yeux s'étaient refermés, en même temps que sa bouche et tandis que Ferrar le menaçait de toute sorte de choses et lui interdisait de revoir la petite, le médium le regardait avec un air contrarié et agacée. Il affichait la mou frustré de quelqu'un qui se faisait gronder par sa mère. Puis son assaillant tomba. Il était tant. Blessé comme il était, ça aurait dû lui arriver bien avant. Il fallait qu'il apprenne à relaxer un peu le pauvre. Owen se relava et épousseta son manteau en observant le corps de l'araignée humaine avec intérêt.

« Hum, je n'avais aucune mauvaise intention sale rustre. C'est plutôt toi que je somme de ne plus m'approcher avec ton sale caractère... Dis-toi que tu ne t'aide pas à te faire des amis de cette manière. »

puis il se rendit compte que la jeune Arisha pleurait doucement sur le sol. Il s'approcha d'elle et la redressa en tirant sur son collet. Il la força à le regarder dans les yeux :

« Hé sa suffit oui ? C'était quand même pas si terrible que sa ! En tout cas je sais au moins une chose, ce sera pas toi mon apprentie avec le peu de courage que tu as. Moi à ton âge, je ne pleurait jamais quand les fantôme venaient me faire peur, alors prend un peu sur toi... »

Owen pouvait toujours tenter de lui effacer la mémoire, mais c'était très long, compliqué et il avait comme principe que tout expérience à son utilité dans la vie et qu'il faut les vivres pour comprendre. Il lui flatta doucement les cheveux. Son air un peu attristé jurait avec se qu'il venait de dire. Owen ferma les yeux et un courant d'air s'échappa de lui :

« Peux-tu le soigner un peu mieux Walter pendant que je surveille la petite ? »

Le courant d'air pris la forme vaporeuse d'un homme d'une vingtaine d'année plutôt séduisant, habillé comme un bourgeois de l'époque victorienne.

« C'est ce que j'allais proposer, il ne faut pas le laisser comme ça le pauvre ! »

Walter fouillait dans le sac d'owen et en sortit une trousse de premiers soins. Tandis qu'il s'occupait du monstre, il lui dit :

« Tu sais Owen, il veut simplement protégé cette fille du mieux qu'il peut. Tu peux comprendre ses réactions un peu également... Toi aussi à l'époque tu ne l'as pas eu facile... »

Owen était d'accord, en quelque sorte, mais il ne répondit pas. Il berçait la fille fleur. Après une minute il lui demanda si cela allait.

[Co-Admin] Fille-Fleur Messages : 52 Date d'inscription : 29/03/2011 Age : 33

On pouvait toujours entendre les sanglots de la petite. Cela lui avait fait vraiment peur. Elle voulait simplement tout se soit arrêter et qu'elle n'est plus à vivre un tel évènement. Elle avait jamais eu autant peur. Elle avait toujours vécu de belles expériences, elle prenait tout bien. Lorsqu'elle était jeune, elle n'avait pas fait de cas sur son adoption. Elle avait pris cela comme si c'était normal. Elle voulait simplement qu'il y ait quelqu'un pour veiller sur elle et s'assurer que tout ait bien. Elle n'avait pas d'ami(e)s et puis? Elle avait son père, ses marionnettes et ses jouets à elle. Elle avait tout ce qui lui fallait. De plus, c'était un peu étrange, car elle n'avait que six ans à ce moment là. À cet âge là, ont a besoin d'amis, mais pas elle. Pendant ses trois ans à l'hôpital, elle était resté avec son père et s'était avec les infirmières et les médecins qu'elle passait son temps. Elle n'avait pas besoin de plus. Tant que son père est là, la petite se sentait bien.

Le calme tomba sur la scène de spectacle. Cela aida à la petite à se calmer, mais il y avait aussi Ferrar qui était là pour l'aider. elle aimait beaucoup être avec lui. Même en ce moment. Elle savait que son ami était amoché, mais elle fut rassurée quand la bête lui dit que tout allait mieux. elle était contente, malgré qu'elle sanglotait toujours au peu. Elle allait chanter une berceuse à son ami, dans le langage araignée, car Ferrar lui avait montré quelques mots et une chanson, lorsque quelqu'un tira sur son collet.

~ Aïe!!!

La personne avait accrochée une de ses pétales. Cela lui faisait tellement mal qu'elle se remit à pleurer. De plus, cette personne manquait de tac. Elle commença à se débattre un peu. Elle voulait que cette personne le lâche. Puis cette personne parla. La jeune fille arrêta net de sangloter. C'était l'homme qui avait fait toute cette scène. il était méchant! Il voulait qu'elle arrête!! en plus, elle ne savait même pas ce que c,était un apprenti. Elle ne voulait pas avoir à faire avec des fantômes... Ils faisaient peur... Ce qu'Arisha voulait, c,était être acrobate ou marionnettiste comme son papa. Elle voulait rien d'autre!! Les larmes recommença à couler sur ses joues. Elle voulait voir son papa... Ari voulait qu'il soit là pour qu'il dise à l'homme de la lâcher. En plus, il faisait mal à ses pétales! Elle avait avoir un gros mal de tête plus tard.

L'homme continuait de lui flatter les cheveux, mais il ne semblait pas remarquer qu'il lui faisait mal! il ne savait pas comment s'y prendre!! Les deux seules personnes qui pouvaient toucher à sa tête étaient son père et Ferrar. Il avait simplement eux qui savaient comment faire avec les pétales de la petite. Puis l'homme lui demanda si ça allait.

~ Non... Vous me faites mal...

Elle essaya de se défaire de l'étreinte de l'homme, mais elle n'y arrivait pas, c'est comme s'il la retenait contre lui... Elle voulait simplement aller le rejoindre, mais en même temps, elle voulait son père. Elle savait plus quoi faire, mais une chose était sûre : elle voulait qu'il arrête de toucher à sa tête.

[Co-fondateur] Homme-Araignée Messages : 44 Date d'inscription : 11/03/2011

Ferrar était en état de dormence, mais il entendait toujours ce qu'il se passait autour de lui. Le médium lui rendit ses insultes...

« Hum, je n'avais aucune mauvaise intention sale rustre. C'est plutôt toi que je somme de ne plus m'approcher avec ton sale caractère... Dis-toi que tu ne t'aide pas à te faire des amis de cette manière. »

JUSTEMENT! Il ne voulait pas d'amis! Ferrar avait envie de l'étriper! Un crissement sourd et agressif sortit de la bête, mais elle ne bougea pas. Soudain le médium fit sortir un autre fantôme, qui avait du goût et du charme contrairement a son détenteur, selon Ferrar. Il se laissa soigner, il accordait avec les dires du vieux Walter.

« Tu sais Owen, il veut simplement protégé cette fille du mieux qu'il peut. Tu peux comprendre ses réactions un peu également... Toi aussi à l'époque tu ne l'as pas eu facile... »

Ferrar se laissa soigné quand il entendis la petite fleur se remettre a pleurer....Les grondements se firent entendre de plus en plus fort et Ferrar sortait de sa dormence peu à peu.

~ Aïe!!!

Les yeux de ferara s'ouvrirent, ce qui fit un peu sursauter le vieux fantôme, qui as donc alerté le Médium qui continuait de flatter les cheveux de sa petite fleur....

~ Non... Vous me faites mal...

L'araignée se releva brusquement en grondant violemment, il avait l'air enragé!

''AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAARRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH!''

L'araignée passa au travers du fantôme, il avait eut une mauvaise impression mais il continua sa route et les sépara, il prit la petite dans ses bras et regarda Owen avec un air accusateur.

''Tu vois maintenant je t'ai dit de ne plus l'approcher!!! Elle est aussi fragile qu'elle est mignonne!''

Il se mit a caresser doucement la tête de la petite avec une précaution étonnante, il se mit a inspecter les pétales de la petite, il se clama d'un bon cran.

''Il n'y en a pas de déchirée....Dieu soit loué....Tout vas bien ma petite-fleur...Il ne te touchera plus...''

Ferrar dirigea de nouveau son regard vers Owen....Il avait l'air moins agressif quand la petite était près de lui. Il n'avait pas envie de le blesser ou bien de tuer....Il voulait juste qu'il comprenne bien son message.

''Ici, il faut faire le moindre de nos gestes avec précaution...Exemple: Il ne faut JAMAIS toucher aux pétales de la petite fleur...C'est la pire des souffrances, physique, qu'on peut lui faire...''

Fit-il calmement et en caressant les pétales d'Arisha...

''Tu as beau avoir des grands pouvoir où je ne sais quoi...Mais ici il faut que tu fasse attention, car TOUT le monde à sa propre manière de se faire approcher...''

Ferrar se mit a fredonner une petite berceuse pour calmer la petit dans ses bras...

''Si jamais tu refais du mal a la petite, tu auras bien plus que moi à dos...mais tout l'établissement, c'est la seule a nous préserver notre joie dans cet univers glauques, sombre et pleins de préjugés....''

En fait Ferrar avait envie de le pendre en se moment et il savait que le vieux marionnettiste aussi si jamais il aurait été présent.Il continuait de câliner la petite fleur, même si le vieux fantôme l,avait un peu soigné, il maquait d'énergie et luttait pour ne pas entrer en dormence, ses pattes en fléchissaient parfois.